ARTICLE avec Mélanie

L'article à la suite d'une entrevue donnée par Mélanie Lavigne (présidente de l'ADIM de la région de Québec) est en ligne.

http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/regional/archives/2009/02/20090206-143520.html#commentaires
:félicitation:

Tourlou

Giroflée

Voilà mon commentaire que j'ai envoyé pour ce sujet.





Bravo Bravo Bravo. enfin un média qui dit des choses intelligentes, qui va chercher la vérité auprès des responsables de services de garde en milieu familliale.Un média qui a sû voir qu'effectivement, les principales intéressées dans cet épineux et désolant dossier, ont été cavalièrement tenues à l'écart. Continuez, allez rencontrer les éducatrices qui vous diront, qui vous apprendront leur réalité.Bien peu d'entre elles peuvent se vanter d'avoir des conditions adéquates de travail. On leur demande d'être responsables d'enfants du Québec, tout en leur exigant plus de 50 hrs semaine, sans congés, sans avoir le droit d'être malades, sans même de pause-café. 10 hrs de garde qui souvent sont remplies par des horaires qui doivent composées avec celles des parents qui utilisent leurs service. Un camionneur bien assis confortablement derrière son volant n'a droit à un horaire de plus de 60 hrs. Une éducatrice en milieu familliale se voit imposé un horaire de plus de 62 hrs semaine avec les tâches de fin de semaine et on lui confie la garde et la responsabilité d'au moins 6 enfants de 0 à 5 ans. Trouvez l'erreur?? Que le système accorde un répit à ces éducatrices qui travaillent sans relâche pour la génération de demain. Qu'on leur accorde immédiatement un salaire équitable pour tous les métiers qu'elles pratiquent.

Voici un copier/coller du texte
C'est la seule façon que j'ai trouvé pour le lire, après 10 secondes la page change.

Donc voici le texte.


Mélanie Lavigne, qui tient une garderie en milieu familial, espère que l’obtention du statut de salariée lui donne enfin la reconnaissance à laquelle elle a droit.
Benoît Gariépy Le Journal de Québec


Chaque matin, elles accueillent des petites frimousses à l’intérieur de leur résidence et s’en occupent toute la journée pendant que papa et maman sont au travail. Sans elles, bien des parents seraient mal pris. Pourtant, plusieurs considèrent que leur contribution à la société est sous-estimée. L’amélioration de leurs conditions de travail corrigera peut-être cette perception. C’est ce qu’elles espèrent.

Responsables, éducatrices, intervenantes, gardiennes, autant de synonymes pour décrire cette force silencieuse que représentent près de 14 000 femmes, au Québec, dans le réseau public des garderies en milieu familial.

Cette semaine, le ministre de la Famille, Tony Tomassi, a confirmé au Journal qu’une table de concertation sera formée d’ici peu pour faciliter la transition vers leur nouveau statut d’employées salariées qui leur donne droit, par ricochet, à la syndicalisation.

«Je suis contente parce qu’au moins ça va bouger», a réagi, hier, Mme Mélanie Lavigne, responsable d’un service de garde, sur la rive-sud de Québec.


Travail sous-payé

Jusqu’à présent, on a peu entendu parler de ces travailleuses. L’attention a surtout été portée sur les syndicats, les parties patronales et le gouvernement, alors qu’elles sont les premières concernées.
«Le but, c’est qu’un jour mon travail soit reconnu à sa juste valeur et qu’il soit valorisé. Je me vois comme une éducatrice comme celles qui travaillent en installation (CPE) et pas juste comme une gardienne d’enfants», a ajouté Mme Lavigne.

«Oui, j’offre mes services dans un milieu familial, mais, ce que je vois, c’est la relève de demain dont je m’occupe. Cela a une valeur.»

Mme Lavigne considère que les éducatrices en milieu familial sont sous-payées actuellement avec un revenu de 26$ par jour, par enfant. Là dessus, elles doivent fournir un repas et deux collations, en plus des dépenses liées à l’entretien de leurs locaux et à l’équipement nécessaire pour les enfants.


Transition à prévoir

Avec ces dépenses et les 50 heures de travail par semaine qu’elle assume, Mme Lavigne affirme que son taux horaire se situe autour de 4,50$. Pas de vacances payées. Pas de congés fériés. Pas de congés de maladie. Rien de tout cela.

«Quand j’ai su qu’on étaient pour être salariées, j’ai dit ça va être fabuleux! On va avoir droit à une protection sociale. C’est sûr que ça va un peu tout croche en ce moment, mais on part de rien. C’est l’incertitude. Il faut se dire que le système ne tombera pas à plat du jour au lendemain. Ça va prendre une transition», a poursuivi la jeune femme.

Les éducatrices sont conscientes qu’il reste du chemin à faire pour conscientiser la population à leur rôle.
«Les gens pensent qu’on est chez nous à faire du ménage et du lavage pendant qu’on garde les enfants. C’est faux. Je ne peux pas laisser les enfants en bas pendant deux heures sans surveillance.»


Équité salariale

Éventuellement, les éducatrices seront assujetties à la loi sur l’équité salariale qui viendra déterminer le salaire auquel elles ont droit. L’une des difficultés est de trouver le type d’emploi pour les comparer. Elles sont cuisinières, comptables, infirmières, etc. Une chose est sûre, ce n’est le travail qui manque pour ceux qui seront invités à siéger à la table de concertation.


http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/regional/archives/2009/02/20090206-143520.html#commentaires

Bravo, bravo, bravo, il y a enfin quelqu'un qui a réussis à parler en notre faveur.

:bravo2: Bravo a mélanie d'adim québec. Voila enfin un syndicat qui commence a agir pour nous. Csq adim vous etes super et je suis tres contente que enfin on parle de nous.

Ca commence a bouger les filles, alors on fait la vague pour Mélanie et tout son équipe :la vague:

:la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague:

Merci !

:la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague: :la vague:

Gros calins, bisous, une chance qu'on t'a Mélanie et à toute ton équipe. J'en profite pour remercier aussi les autres adim et CSQ qui travaillent pour nous.
BRAVO!


:caresse: :caresse: :caresse: :caresse: :caresse: :caresse: :caresse: :caresse: :caresse: :caresse:

Bravo!
enfin un article qui relate les faits et les faits seulement!
Bravo à Mélanie!

Bravo Mélanie il faut qu'il parle plus de nous autres ,comme cela le peuple va mieux comprendre nos réalités et arrêter de spéculer sur notre compte.Il pense tous la même chose en fait il dise tous la même chose..Elle chiâle pour rien ces femmes là.Il faut sortir se faire entendre, le plus possible par des filles qui son capable de dire la vraie vérité sur nos conditions...

super Mélanie!!! je viens de lire l'article et il répond à toutes nos attentes envers vous adim csq et je partage les mêmes commentaires que toutes les autres filles qui se sont prononçés jusqu'à maintenant :2: :2: :2: :2: :2: :2: :2: :2: :2: :2:

:champagne2: :félicitation:

wow! super Mélanie :amitié: :merci:

BRAVO! BRAVO! :la vague: :la vague: :la vague:

:grenouille: :grenouille: :grenouille: Enfin un article qui reflète les vrais affaires qu'on vit
:grenouille: :grenouille: :grenouille:

:félicitation: Bravo Mélanie!


Bulle!

L'entrevue avec Mélanie était meilleure que l'autre à TVA
Bravo Mélanie...tu nous a bien représentée

wow wow wow a force d'essayer on va y arriver tous ensemble dans la même direction .

SUPER MÉLANIE :fleurs 3:

Félicitation Mélanie


Continue ton bon travaille et merci encore pour ton entrevue :bravo2: Bravo

ta tante qui t'aimes beaucoup :)))))) :9: