Pouponnette,
Je comprends que tu ne sois pas d'accord avec les moyens de pression utilisés (je pense qu'il y a personne que ca fait plaisir de se faire menacer de se faire couper????) mais je pense qu'il faut le faire car nous n'avons pas le choix, si l'on veut vraiment se faire écouter. (Mais à toi, de prendre la meilleure décision pour toi).
Pis de voir, le comportement du Ministère, regarde juste la loi 51 quand tu lis les écrits du Ministère, il semblait enfin reconnaître qu'il y avait des correctifs et des inégaliités à changer me semble aussi qu'ils ont émis le commentaires que cela devrait se régler assez rapidement.
Sont ou leurs bonnes intentions?????
Pis moi, ce que je retiens, la plus belle victoire que nous ayons pu avoir, c'est que le syndicat s'est battu pour nous, que dire de la bataille concernant la loi 8, quoi dire qu'ils ont mis un frein sur le contrat bc-rsg -- formulaire de demande de places subventionées et engagements (instruction no 5), etc...Et que dire, de l'instruction remise vendredi a nos chers bureaux coordonnateurs concernant la facon dont on va couper nos subventions (c'est drôle par exemple quand un parent arrive en retard, nous n'avons jamais pu facturer MFA, le temps que l'on prend pour la rencontre des nouveaux parents, le ménage, les commissions, etc... ).
Oui, j'aime bien les voirs se mettre les pieds dans les plats et de voir que les lois et règles qui changent selon leur bon vouloir (c'est quoi l'affaire des calculs et %, ca sort de ou cette affaire-là). Bien je vois qu'ils ne sont pas connectés sur la réalité.
Moi, je crois que s'ils auraient pu nous donner un peu de bonbon avant (augmentation raisonnable a chaque année, respect de nos droits travaileurs autonomes (le fait d'avoir voulu contrat bc-rsg, le fait d'imposer entente de services prouvent qu'ils voulaient et que dire de ce qu'ils mijotaient encore). On est tannée de donner pis de financer le système.
Plus ils font des conneries plus cela me rassure de continuer. Que je fais la bonne chose car je suis tannée qu'ils rient de moi.
Pensons aux maiïtresses d'école dans les rangs de village, des infirmières dans les années 50, 60. Si elles ne se seraint pas battus pour obtenir de meilleures conditions de travail, c'est certain que c'est pas le gouvernement qui l'aurait fait.