- Francinette a écrit:
- les demande d'augmentaiton de la csn ne concerne pour l'instant QUE les ocngés et vacance supplémentaire ainsi qu'un montent pour nous aidé a payé la rrq et ces truc comme le gouvernement nous l'a promis.
Donc en bout de ligne l'augmentaiton de salaire que nous n'en sera pas une ne l'oubliez pas ca ne sera QUE des avatanges sociaux. Nous auront en bout de ligne des vacances payé, des congé de maladie payé et de l'aid epour payé la rrq, la csst mais en bout de ligne a la base nous auront toujours notre petit 26.50 par jour si on enleve ces montants.
Moi ca ne me satisfait pas, Ca fait 10 ans qu eje fais ce métier, que je me fais ch... a suivre les regles pour un salaire de creve faim. AU MINIMUM il faudrait exgier que la question de du semblant d'équité salariale est une déla fixe genre dans 1 an il faut etre arrivé a rendre une décision et a le mettre en place.
Sinon on le sait on l'a vu chez les éduc en installations l,exercice est tres tres long ET dans d'autre secteur il y a meme encore des entreprise qui n'ont meme pas fini l,exercice 5-6 ans apres le début des travaux!
Petite précision, voici la 10ème demande CSN et elle parle de rémunération, donc de salaire:
10. Un ajustement de notre rémunération et de meilleures protections
financièresPour peu que l’on tente de calculer notre véritable taux horaire, on se rend vite compte
que celui-ci est inférieur au salaire minimum….. Ceci en échange de très longues
heures de travail et d’aucune garantie à court, moyen et long termes. Les enfants qui
quittent cette année seront-ils remplacés par d’autres ? Qu’arrive-t-il si demain matin,
pour une raison ou une autre, je dois suspendre les activités de mon service de garde ?
Serais-je en mesure de rencontrer les emprunts que j’ai contractés pour adapter mon
domicile aux exigences réglementaires et me procurer les meubles et équipements
nécessaires ? Que me réserve la retraite ? Tant de questions, tant d’inquiétudes pour
Plateforme CSN de revendications pour les responsables de service de garde – 26 octobre 2009
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lesquelles, jusqu’à présent, un peu tout le monde dans ce réseau a fait la sourde oreille,
comme si cela ne les concernait pas.
Il n’est pas normal que nous soyons si faiblement rémunérées et protégées pour le
travail si important que nous accomplissons auprès de ces milliers d’enfants qui nous
sont confiés du matin au soir, cinq jours par semaine. Jusqu’à présent, notre statut de
travailleuse autonome opérant à domicile a eu bon dos pour justifier pareil traitement.
Cela doit changer. Il faut revoir les paramètres de notre rémunération, entreprendre une
démarche d’équité salariale, discuter de retraite et de fiscalité et convenir de règles
différentes avec les bureaux coordonnateurs portant sur le versement de la
rémunération et sur les frais accessoires qu’ils exigent.
C’est pourquoi nous demandonsa.
Des ajustements à notre rémunération pour tenir compte :• De la contribution du MFA pour notre participation aux divers régimes publics
(RRQ, FSSS, RQAP, LATMP, etc.)
• De l’octroi de congés payés (maladie, fériés, vacances).
b.
Une indexation annuelle de la subventionc. Une démarche en équité salariale et des recours en cas d’impasse
•
Une démarche en équité salariale prenant en compte l’ensemble des paramètres
entourant notre prestation de travail (diversité des tâches, niveau de
responsabilité, rémunération, jours et heures de travail, vacances et congés, etc.)et un mécanisme de comparaison avec des emplois similaires.
•
La possibilité de référer le dossier à un arbitre neutre et indépendant en cas de
litige.Des travaux seront nécessaires afin, notamment, de distinguer la partie de notre rémunération qui sert
essentiellement à couvrir nos dépenses de fonctionnement et celle qui nous rémunère pour le service
rendu (et qui constitue en quelque sorte notre salaire).
Cette opération servira aussi à déterminer notre niveau de protection et de contribution au RRQ, à la
CSST, au RQAP et en assurance-salaire et assurance-vie. Elle est aussi nécessaire à des fins fiscales
pour tirer meilleur avantage des dispositions applicables aux travailleurs autonomes.
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d. Un régime de retraite
• La constitution d’une sous-table de travail chargée de proposer et mettre sur pied
un régime de retraite adapté à notre situation.
• Son mandat principal consiste à déterminer le type de régime à proposer, à en
définir les règles et les coûts, à définir le mandat des administrateurs. Sa
proposition sera soumise à consultation auprès des associations de RSG.
• Le régime est alimenté à 50 % par la contribution de l’EMF et à 50 % par la
contribution du MFA.
e. La modification de certaines règles touchant le versement de notre
rémunération
• Le versement de la subvention à jour fixe à toutes les deux semaines par dépôt
bancaire.
• Le bureau coordonnateur ne peut faire aucune retenue sur la rémunération due,
sauf celles autorisées par l’EMF, par loi ou par l’entente collective.
• Le bureau coordonnateur doit verser la subvention prévue pour un enfant qui
fréquente notre service de garde, même si le parent de cet enfant omet ou
néglige de payer la contribution réduite ou ne fournit pas certains documents
requis par le règlement ou la loi.
• Le bureau coordonnateur continue de verser la subvention de la RSG même s’il
n’a pas reçu sa réclamation dans les temps requis. Il fait les ajustements
nécessaires au versement suivant.
• S’il y a erreur sur la rétribution due à l’EMF, imputable au bureau coordonnateur,
celui-ci la corrige dans les cinq jours suivants.
• Si des sommes ont été versées en trop à l’éducatrice, le bureau coordonnateur
récupère les sommes dues à raison de 10 % par période de versement, jusqu’à
extinction de la dette.
f. Un encadrement des frais exigés par le bureau coordonnateur
Il y a nécessité de convenir de règles précises sur les frais qui peuvent être exigés
par le bureau coordonnateur.
• Services régis : aucuns frais ne peuvent être exigés pour l’accomplissement de
toute formalité confiée au bureau coordonnateur en vertu de la loi, de la
règlementation ou de l’entente collective.
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• Services supplémentaires : tout service supplémentaire offert par un bureau
coordonnateur doit être offert au prix coûtant (principe de l’autofinancement). Les
frais d’intérêt exigés pour tout retard de paiement de l’éducatrice ne doivent pas
excéder le taux d’intérêt légal.
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