CQSGEE

Me voici dégênée! Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 20/01/2009

http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/quebec/archives/2009/02/20090205-155742.html

http://lejournaldequebec.canoe.ca/videos/

merci pour les deux liens
le premier est d 'un meilleur ton que le dernier de la même journaliste
quand au vidéo c'est du BLABLABLABLA déjà entendu!!!.........

Ils sont vraiment entêté avec leur moratoire pour un an !!! :nonnon:

cest quoi au juste un moratoire ?

Me voici dégênée! Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 07/02/2009

Moratoire=accorder un délai légal soit, un an

:nonnon: c'est trop long 1 an :nonnon: :nonnon: :nonnon: on n'a eu de la misère à composer avec 2 mois ( c'est pire qu'un accouchement!!!)

Dossier des éducatrices en milieu familial
Temps d’arrêt demandé
DIANE TREMBLAY

Le moratoire va donner du temps aux divers ministères pour s'organiser. On connait toute des blagues sur des fonctionnaires, ce n'est pas pour rien. Ça va prendre du temps... On va en savoir un peu plus quand les ADIM vont tenir leur Assemblée Générale (J'ai entendu parler de mars pour Montréal).
"Le ministre de la Famille, M. Tony Tomassi, qui représente l’un des sept ministères impliqués dans ce dossier, comprend les préoccupations des éducatrices."
C'est une bonne raison, sans blague ça prend du temps. Un exemple ça prit près d'un mois pour penser et écrire la Loi 8 (le document à 5 pages, les articles tiennent sur 2 pages.

Je ne suis pas d'accort avec cette affirmation
"Deux mois plus tard, elles ignorent toujours qui sera leur employeur, quelle sera leur rémunération, ainsi que leur cadre de travail. L’absence de lignes directrices, sur la façon de faire les choses, a contribué à alimenter le sentiment d’inquiétude généralisée chez les responsables de service de garde en milieu familial."
Notre employeur est le BC qui nous a reconnu, c’est lui qui veux la confirmation de son titre.
Ce n’était pas nécessaire la petite phrase qui dit : « on reçoit même des appels de travailleuses en pleurs qui s’inquiètent de leur avenir. »

J’aurais aimé qu’on donne la ou les raisons pourquoi le CQGSÉE : «souhaite que les salariées puissent bénéficier des règles fiscales qui s’appliquaient alors qu’elles étaient des prestataires de service. »

Une ouverture d'esprit de cette association on ne commente pas le choix des 10,000 RSG (presque) qui on fait une demande d'accréditation syndicale.

Un petit commentaire de ma par : Francine Lessard (la directrice Générale du CQSGÉE), cette femme n’a pas beaucoup changer, depuis l’époque ou elle était à la tête de l’association des Agences de services de garde. Si je me souviens bien c'était en 199...

Marie-France

d'accord Marie -france

:ouimaître:

Développements en regard des requêtes en accréditation

concernant les responsables de service de garde
en milieu familial (RSG) et leurs aides

Rimouski, le 6 février 2009. Au cours de la semaine qui s’achève, une rencontre a eu lieu entre la présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, et la ministre responsable du Conseil du trésor, Monique Gagnon-Tremblay. À l’ordre du jour : le statut de salarié des RSG, l’application de certaines lois d’ordre social, et la reconnaissance du droit des RSG de se regrouper en syndicat pour négocier leurs conditions de travail.

Depuis le tout début, la CSN invite les représentants patronaux et surtout leur bailleur de fonds, le gouvernement, à s’asseoir pour entreprendre des discussions et des travaux « à visière levée » sur un ensemble de sujets tels le statut des RSG, le cadre de négociation des conditions de travail, l’application et les modulations, si nécessaire, de certaines lois sociales applicables, ainsi que sur les conditions de travail des RSG, et ce, afin de ne pas déstabiliser le secteur ni insécuriser davantage les travailleuses qui sont visées.

Le gouvernement s’est engagé à donner suite d’ici une semaine. Dans ce contexte, et compte tenu de la teneur des discussions que nous avons eues avec la Ministre, il a été convenu, par toutes les parties au dossier, de modifier l’échéancier juridique en reportant la production, par les représentants patronaux, des faits et des arguments appuyant leur position, à savoir que ni les RSG, ni les assistantes, sont des salariées au sens du Code du travail, du 16 au 23 février prochain.

Entre-temps, nous espérons convenir avec le gouvernement d’une démarche d’ensemble qui, du moins nous l’espérons, réduira les procédures juridiques et se poursuivra sur les véritables enjeux soit les conditions de travail des RSG.

Enfin, dans le cas où les pourparlers avec le gouvernement n’aboutiraient pas, les représentations des employeurs devront être soumises à la Commission des relations du travail le 23 février prochain.

Nous vous tiendrons donc au courant des développements.

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