La première fois que j'ai visionné ce reportage, j’étais avec des collègues de mon BC,
(disons que je fais partie d’un BC qui était ciblé par la CSQ) (et je n’ai rien à voir avec ce choix). On était au Centre St-Pierre, dans la salle Laure Gaudreault (1889 à 1975).
Pour celles qui ne se souvienne pas les leurs cours d’histoire du Québec moderne. L’histoire consacre Laure Gaudreault comme la fondatrice de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) autrefois la Centrale des enseignants et enseignantes du Québec (CEQ).
http://www.histoirequebec.qc.ca/publicat/vol9num1/v9n1_6lg.htmDonc, On sait retrouver une gang de RSG, avec l’exécutif de l’ADIM-Montréal.
Quand le reportage commence, je suis un peu en retrait, j’ai une vue d’ensemble de la salle, mes collègues sont figées à leur chaise, le silence total. Personne ne parle, pas d’échange ni de coup de coude rien. À la fin on a applaudi.
Quand à la chanson « Du pain et des Roses »
Le 4 juin 1995 j’étais à Québec pour accueillir les marcheuses. J’y étais avec 2 collègues, à époque on était reconnues par une Agence de Services de Garde. Deux ans plus tard les 3 même étions parmi les membres fondateurs de l’ADIM-Montréal.
La marche « Du pain et des roses » Une marche ou les femmes réclamaient du gouvernement québécois des changements visant l’amélioration de leurs conditions économiques. Pendant 10 jours, les marcheuses ont reçu un appui massif de la population. Le 4 juin 1995, après 200 km de marche, près de 20 000 personnes les attendaient à Québec pour appuyer leurs demandes. 10 jours de marche, 10 demandes, c’était Françoise David qui avait fait la lecture des 10 demandes devant notre parlement. C’était peut-être aussi le début de Québec Solidaire, qui sait.
La chanson du pain et des roses,
Lien pour l’écouter :
http://www.ffq.qc.ca/actions/pain-roses.htmlMarie-France :pour toi: