Les ADIM-CSQ contestent la constitutionalité de la loi 8 dont les articles ont été intégrés à la loi 124.
Étant donné qu’elles contestent la Loi 8, elles ont décidées de ne pas demander à être reconnu comme association représentative. C’est un choix politique, on vit avec.
Les ADIM contestent la Loi 8, ces procureurs ont tentés de démontrés que la Loi 8 est anticonstitutionnelle envers la Charte canadienne des Droits et Libertés.
La Cour supérieure du Québec a tenu sa dernière journée des audiences sur la contestation de la loi 8, le 21 janvier 2008. Débutées au mois de septembre 2007. La décision est attendue bientôt.
Le Bureau international du travail à Genève (BIT) a déjà condamné l’adoption par le gouvernement du Québec de la loi 8.
Pour l’instant il y a 6 ADIM
Laval, Laurentides, Lanaudière
Montréal
Estrie
Montérégie
Québec, Rive-Nord, Rive-Sud
Saguenay
Chaque ADIM est indépendant. Les ADIM ont choisi la CEQ comme Centrale syndicale depuis 1997. Au tout début la CEQ a accepté les ADIM comme travailleur autonome, en juin 2001 les RSG du CPE La Rose des vents ont déposée la première demande d’accréditation syndicale.
Le choix a été fait par les RSG.
Les ADIM doivent tenir 2 Assemblées Générale par année, c’est un CE (Comité Exécutif) qui représente les membres. Sauf que les grands enjeux sont décidés lors des Assemblées Générale se sont toujours les membres qui votent (l’assemblée est décisionnelle).
Lors de la prochaine Assemblée générale nous allons surement discuter de la nouvelle entente de service ainsi que du formulaire de demande de places subventionnées et engagements.
Quand le gouvernement a sorti la Loi 124 on avait eu une personne ressource (un avocat) pour répondre à toutes nos questions.
En 2007, lors d’un colloque,
J’ai assistés à une conférence de Jean Bernier (Professeur au Département de relations industrielles de l’Université Laval et co-auteur, en 2003, d’un important rapport sur les besoins de protection sociale des travailleurs atypiques). Il nous a expliqué qu’il n’y avait pas seulement la syndicalisation qui s’offrait à nous, il y a d’autre possibilité aussi.
Il y avait aussi le président de l’Union des Artistes qui était venu nous parler de la démarche des artistes.
Tous cela pour dire que les ADIM ne parlent pas seulement de syndicalisation. Pour l’instant on attend la décision du juge pour savoir si la Loi 8 est anticonstitutionnelle ou pas. Après on verra lors d’une Assemblée Générale vers ou l’on s’en va.
Quelle que soit la direction que l’on choisira, nous en discuterons et se sera les membres qui prendront la décision, pas seulement une petite gang.
Marie-France