Aujourd'hui dans la Tribune (ADIM-ESTRIE)

La Tribune a publié un article sur les réclamations de la CNT aux BC, ce mardi 7 avril 2009.

Bureaux coordonnateurs des services de garde: des factures faramineuses
http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/estrie/200904/07/01-844421-bureaux-coordonnateurs-des-services-de-garde-des-factures-faramineuses.php Isabelle Pion
La Tribune

(...)
Présidente de l'Alliance des intervenantes en milieu familial de l'Estrie (ADIM), Marlène Carbonneau ne s'attend pas à ce que ses membres puissent toucher un chèque à court terme. «Ce qui est réclamé, c'est calculé en fonction du salaire minimum, ce sont des heures travaillées qui n'ont pas été payées», fait-elle valoir. Chose certaine, ajoute-elle, ce sont les travailleuses qui sont victimes de ces contestations. Elle estime que les réclamations peuvent varier entre 7000 $ et 14 000$ par RSG.

(SHERBROOKE) Les bureaux coordonnateurs de la région, à l'instar de l'ensemble de la province, se retrouvent avec des factures de milliers de dollars à payer. Conséquence d'un jugement permettant la syndicalisation des responsables de service de garde (RSG) en milieu familial, la Commission des normes du travail (CNT) réclame maintenant des sommes importantes en salaires et en heures supplémentaires à ces organisations.
Directrice générale du bureau coordonnateur (BC) Familigard'Estrie, Florence Garcia indique qu'elle a reçu des réclamations s'élevant à environ 395 000 $. «On a une quarantaine de responsables de service de garde en milieu familial qui ont logé une plainte à la CNT... On a 125 RSG au total. Notre facture est amenée à augmenter. Si toutes nos RSG logent des plaintes, on évalue les réclamations à 1,2 million $», commente Mme Garcia.

Créés en 2006, les bureaux coordonnateurs encadrent les centres de la petite enfance et les RSG en milieu familial. La CNT s'est tournée vers eux parce qu'elle les a identifiés comme étant les employeurs des RSG. Rappelons que deux lois adoptées par le gouvernement Charest, empêchant les éducatrices en milieu familial de se syndiquer, ont été déclarées inconstitutionnelles par un jugement de la Cour supérieure du Québec. Ce jugement a donc ouvert la porte à la syndicalisation de ces travailleuses.

Sylvie Prévost, directrice générale du bureau coordonnateur Carrosse-Citrouille, a reçu jusqu'ici des réclamations s'élevant à près de 384 000 $ provenant de 35 RSG. Mais le bureau en compte 140 au total. «Certaines ouvrent 10 heures par jour. Elles réclament 44 heures aux deux semaines de temps supplémentaire, les jours fériés, un pourcentage pour les vacances...» résume Mme Prévost.
Et pour la suite des choses? «On fait affaire avec l'Association québécoise des CPE (AQCPE); elle a un avocat qui nous représente. On l'a mandatée pour qu'elle nous représente au point de vue juridique afin de contester les demandes», explique-t-elle.
Les yeux sont maintenant tournés vers le gouvernement Charest, qui doit adopter une loi visant à définir le statut des responsables de service de garde en milieu familial et encadrant leur travail.
«On n'a pas l'argent pour payer ça», lance Odette Montcalm, directrice générale du CPE Les petits lutins de Drummondville. Le BC qu'elle dirige, aussi défendu par l'AQCPE, dispose d'un budget de 500 000 $ pour sa gestion; la gestionnaire fait cependant face à des réclamations de près de 800 000 $, et ce n'est pas fini.
«On croit bien que le gouvernement va régler ça. On ne pense pas écoper de la facture (...) On a bien hâte que le gouvernement sorte son projet de loi», souligne-t-elle en ajoutant que la situation n'est pas facile pour les RSG.
Présidente de l'Alliance des intervenantes en milieu familial de l'Estrie (ADIM), Marlène Carbonneau ne s'attend pas à ce que ses membres puissent toucher un chèque à court terme. «Ce qui est réclamé, c'est calculé en fonction du salaire minimum, ce sont des heures travaillées qui n'ont pas été payées», fait-elle valoir. Chose certaine, ajoute-elle, ce sont les travailleuses qui sont victimes de ces contestations. Elle estime que les réclamations peuvent varier entre 7000 $ et 14 000$ par RSG.

Merci

bonjour

ce qu,il faut mettre au clair c'est ceci

les reclamation non rien a voir avec la syndicalisation des RSG

c'est plutot une consequence du jugement qui determine que les RSG sont des salarié au sens de la loi et que c'est les normes minimale du travail CNT qui fait que les RSG ont droit a ces montant d'argent

meme ceux et celles qui ne sont pas syndiquer ont droit a ces reclamation d'ailleurs au quebec il n'y a encore aucune RSG qui soit officiellement syndiquer
plus de douze milles sont en voit de le devenir mais personnes ne l'est encore officiellement

donc AQCPE essai de denigrer les syndicat et les RSG du quebec il faut les denoncer

ce que les RSG reclame actuellement viens du fait que les RSG ont gagné devant la cours le droit de se syndiquer mais ce qui leur donne le droit de se syndiquer
c'est que les juges ont determiner que les RSG sont des Salarié au sens de la loi et a cause de cela
les RSG ont droit au NORME MINIMALE DU TRAVAIL cela n'a rien a voir avec la syndicalisation c'est un droit que tout les employé du quebec ont ....un point c'est tout

tout les employé du quebec ont droit a un minimum , donc encourager toutes les RSG du quebec a porter plainte afin de reclamer leur du

non mais elle fait CH..... cette association la

Rock

un status de travailleur autonome avec le droit de te syndiquer ou comme le laisse entendre le droit a l'association n'est pas la syndicalisation hein!!!!

fin du drapeau blanc les filles je suis en

Ladouce

Ben Rock tu as tout à fais raison les filles il faut pas se laisser berner par ces madames oublier pas que leur gros salaire nous les payeur de taxe ont vas les payé, elles en parlent pas trop fort, Si elle le mérite ben tant mieux pour elle mais dénigrer pas ceux qui vous apporte l'eau au moulin. Parce que la roue peut retourner de bord et vous aller la recevoir au visage. :pâlir: :pâlir: :pâlir:

Rock2 a écrit:

bonjour

ce qu,il faut mettre au clair c'est ceci

les reclamation non rien a voir avec la syndicalisation des RSG

c'est plutot une consequence du jugement qui determine que les RSG sont des salarié au sens de la loi et que c'est les normes minimale du travail CNT qui fait que les RSG ont droit a ces montant d'argent

meme ceux et celles qui ne sont pas syndiquer ont droit a ces reclamation d'ailleurs au quebec il n'y a encore aucune RSG qui soit officiellement syndiquer
plus de douze milles sont en voit de le devenir mais personnes ne l'est encore officiellement

donc AQCPE essai de denigrer les syndicat et les RSG du quebec il faut les denoncer

ce que les RSG reclame actuellement viens du fait que les RSG ont gagné devant la cours le droit de se syndiquer mais ce qui leur donne le droit de se syndiquer
c'est que les juges ont determiner que les RSG sont des Salarié au sens de la loi et a cause de cela
les RSG ont droit au NORME MINIMALE DU TRAVAIL cela n'a rien a voir avec la syndicalisation c'est un droit que tout les employé du quebec ont ....un point c'est tout

tout les employé du quebec ont droit a un minimum , donc encourager toutes les RSG du quebec a porter plainte afin de reclamer leur du

non mais elle fait CH..... cette association la

Rock

Rock2, explique moi pourquoi l'AQCPE fout le bordel partout , en ce moment, la revue Bien Grandir est teintée de leurs propos , le reportage à Radio-Canada est teinté de leurs propos , et l'opinion public en ce moment c'est l'AQCPE qui la fait, et c'est pas très reluisant, l'image que l'on a .
Quand va-t-il y avoir un journaliste intelligent qui va écrire quelque chose de brillant sur nous autres, les RSG, principales concernées dans ce dossier ???
Je commence à en avoir ras le pompon de lire toutes ces niaiserie

Je suis bien d'accord avec toi moi!! :ensemble: Y a pas une rsg dans le forum qui aurait un ou une journaliste dans son milieu qui pourrait nous aider en parlant de nous au public pour rehausser notre image! :pétale: