AU CARREFOUR des RSG du Québec Un lieu de rencontre en toute amitié! |
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| info Adim #9... | |
| | Auteur | Message |
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Bellefleur Je l'aime, mon public!
Nombre de messages : 359 Date d'inscription : 17/12/2005
| Sujet: info Adim #9... Ven 5 Juin - 1:53 | |
| Y'é sortie. Bonne lecture. Bellefleur | |
| | | mabel Une vraie maniaque du forum! S.O.S, À l'aide!!!!
Nombre de messages : 6670 Date d'inscription : 31/07/2006
| Sujet: Re: info Adim #9... Ven 5 Juin - 3:02 | |
| j'ai arrêté de lire à S'OPPOSENT FORTEMENT pfff | |
| | | annicks Je suis une hyperactive!
Nombre de messages : 174 Age : 48 Date d'inscription : 01/12/2006
| Sujet: Re: info Adim #9... Ven 5 Juin - 3:30 | |
| quelqu'un pourraient faire un copier collé ici SVP? mon dinosaure overload d'ordi n'ouvre pas les pdf. je vais p-e avoir les moyens de m'en payer un neuf avec ce que j'ai lu dans le oste de francinette hier | |
| | | joss Je suis une hyperactive!
Nombre de messages : 152 Date d'inscription : 11/02/2009
| Sujet: Re: info Adim #9... Ven 5 Juin - 4:02 | |
| Je suis d'accord avec toi Mabel . ils étaient ou.......... pourquoi n'étaient elles pas invitées par leur syndicats a la table . | |
| | | tonique Ça y est! Je suis dépendante!
Nombre de messages : 75 Date d'inscription : 19/02/2009
| Sujet: Re: info Adim #9... Ven 5 Juin - 6:14 | |
| Chères membres,
Une étape de plus vient d’être franchie
vers la reconquête de nos droits
fondamentaux. Ce 3 juin 2009, la CSQ
a livré son message devant la
Commission parlementaire pour que
nos droits soient bien enchâssés dans le
projet de loi 51 que le gouvernement
entend faire adopter d’ici l’été. Dans le
mémoire présenté aux députés, la CSQ
a formulé plusieurs recommandations
pour que non seulement le droit
d’association et son corollaire, le droit
de négociation, soient bien encadrés,
mais aussi pour que le droit à l’égalité,
si souvent invoqué dans le jugement
Grenier, parvienne à se concrétiser.
Ne pas dévier de notre objectif
Ce projet de loi, qui crée un régime
particulier de relations du travail pour
les RSG, est innovateur au Québec et
devrait recevoir toute l’attention
nécessaire pour que l’édifice que l’on
construit repose sur des bases solides et
respectueuses de nos droits de
travailleuses. La reconnaissance
syndicale, le droit de négocier et
l’établissement d’un régime de
négociation doivent demeurer les
fondements de ce projet de loi. Et nous
devons nous méfier de tout
détournement du débat qui viendrait
nous distraire et nous éloigner de nos
véritables objectifs. Faire dévier le
débat ne profite en rien aux RSG, ni à
l’avancement de leurs droits ni à leur
reconnaissance professionnelle. Utiliser
ce projet de loi pour remettre en cause
les structures du réseau des services de
garde n’a pas lieu d’être et doit être
perçu comme une tentative d’occulter
le vrai débat, celui qui nous ouvrira la
porte à la négociation, à l’amélioration
de nos conditions de travail et à l’accès
aux protections sociales en toute égalité
avec les autres travailleurs et
travailleuses du Québec.
Bonifier le projet de loi
C’est pourquoi, il est impératif que le
gouvernement retire immédiatement du
projet de loi 51 tous les articles qui
n’ont pas de liens directs avec le
régime particulier de relations du
travail qu’il entend mettre en place.
Qu’il se concentre donc sur l’essentiel !
Des bonifications sont encore
attendues, notamment au chapitre de la
définition d’un mécanisme s’inspirant
de la Loi sur l’équité salariale pour la détermination
de la rétribution ainsi qu’au chapitre des protections
sociales.
Souhaitons que tous les intervenants impliqués
reviennent rapidement à la raison et perçoivent
l’urgence, enfin, de reconnaître pleinement les
droits des RSG.
La CSQ en Commission parlementaire
Par Mélanie Baril et Aude Vézina, vos conseillères syndicales ADIM
Le 3 juin dernier, votre centrale syndicale a eu
l’occasion de présenter ses positions sur le projet de
loi 51 en Commission parlementaire.
Voici, en bref, les grandes lignes des positions que
la CSQ défendait devant ce forum sur chacun des
grands chantiers abordés dans le projet de loi.
Le droit d’association
Le projet de loi transpose l’essentiel des principes
contenus au Code du travail en matière de droit
d’association, d’accréditation et de protection des
droits des travailleuses et travailleurs et du Québec.
Ces dispositions permettront d’obtenir des
reconnaissances des associations d’intervenantes en
milieu familial pour les territoires de chaque bureau
coordonnateur (ce qui correspond aux certificats
d’accréditation). Cette transposition des dispositions
du Code du travail octroiera également aux
associations le monopole de représentation
syndicale, et leur imposera un devoir de
représentation juste et équitable. La retenue | |
| | | tonique Ça y est! Je suis dépendante!
Nombre de messages : 75 Date d'inscription : 19/02/2009
| Sujet: Re: info Adim #9... Ven 5 Juin - 6:15 | |
| obligatoire de la cotisation permettra aux
associations de se structurer de manière à
représenter adéquatement leurs membres et à offrir
à celles-ci une vie associative dynamique. C’est
pourquoi la CSQ tient à marquer sa satisfaction à
cet égard.
Cependant, le projet de loi est construit de telle
façon que le gouvernement a voulu évacuer le lien
de relations de travail entre les associations et les
bureaux coordonnateurs, rendant un certain nombre
de dispositions difficilement applicables. La
reconnaissance de l’association doit également lier
le bureau coordonnateur agréé pour le territoire
visé.
D’autre part, comme l’intention du législateur est de
transposer les dispositions du Code du travail, nous
avons demandé, en Commission parlementaire, que
cette transposition ne soit pas sélective et que
l’ensemble des conditions, des protections et des
délais qui y sont prévus, apparaisse dans la loi
applicable aux responsables de service de garde en
milieu familial (RSG). Pour cette raison, la CSQ
propose :
Que le projet de loi soit amendé de manière à
transposer le plus fidèlement possible les
dispositions du Code du travail.
Le régime de négociation collective et
l’entente collective
Au cours des consultations menées par le
gouvernement, la CSQ a revendiqué la mise en
place d’un régime de négociation nationale
permettant aux RSG de négocier directement leurs
conditions de travail avec l’État subventionnaire par
l’intermédiaire d’un agent négociateur. Le projet de
loi répond en partie à nos revendications en matière
de négociation et c’est pourquoi la CSQ reçoit
favorablement le régime de négociation instauré par
le projet de loi.
le verserait aux RSG admissibles les indemnités
prévues à la loi à compter de la 3e semaine ou de la
4e semaine selon le cas, même si leur BC
contrevient à la loi en retenant le paiement des
premières semaines.
Pour que les RSG puissent obtenir justice, la CSQ
n’a pas hésité à mettre à contribution toutes les
ressources à sa disposition : président, viceprésidente
responsable des dossiers de santé et de
Nous sommes toutefois préoccupés par le fait que le
projet de loi ne contienne aucune disposition
stipulant que les bureaux coordonnateurs sont liés
par l’entente collective conclue entre l’agent
négociateur et le ministre, alors que le
gouvernement avait indiqué son intention, au cours
des travaux de consultation, qu’il en soit ainsi. De
plus, nous avons toujours soutenu que le projet de
loi devrait contenir une liste des matières
négociables, de manière à éviter une négociation
préalable à celles-ci. Ces matières négociables
devraient apparaître en annexe au projet de loi.
C’est pourquoi la CSQ propose :
Que le projet de loi soit modifié par
l’insertion d’une disposition stipulant que le
bureau coordonnateur est lié par les
dispositions de l’entente collective négociée
au plan national et par l’ajout d’une annexe
mentionnant les matières négociables.
Par ailleurs, les intentions annoncées par le
gouvernement au cours des travaux de consultation
indiquaient que le régime de retraite et le régime
d’assurances collectives faisaient partie de la
négociation, ce que le projet de loi devrait
explicitement mentionner.
Lors des consultations, les matières suivantes, non
incluses au projet de loi, avaient tout de même été
évoquées : modalités de versement de la subvention,
récupération des trop-perçus et des ajustements,
modalités de prélèvement de la cotisation,
conditions particulières de garde atypique, vacances
et congés fériés, conditions d’exercice de la garde,
modalités de récupération des places, accès au
dossier, recours. Ces matières négociables devraient
apparaître en annexe au projet de loi. C’est
pourquoi, la CSQ propose :
Que le projet de loi soit modifié par l’ajout, à
l’article 30, de l’établissement de régimes
collectifs de retraite et d’assurance et des
autres matières explicitement annoncées dans | |
| | | tonique Ça y est! Je suis dépendante!
Nombre de messages : 75 Date d'inscription : 19/02/2009
| Sujet: Re: info Adim #9... Ven 5 Juin - 6:15 | |
| les intentions gouvernementales.
Les moyens de pression et les mécanismes
de résolution de conflit
La CSQ accueille fort positivement l’introduction
de mécanismes de résolution des conflits comme la
médiation et l’arbitrage de différend. De même, la
reconnaissance du droit de grève des RSG,
indissociable de leur droit d’association et de leur
droit de négocier, marque un progrès considérable
pour celles-ci. Nous soulignons toutefois que le
projet de loi encadre sévèrement l’exercice des
moyens de pression. En conséquence, la CSQ
propose :
Que le projet de loi soit modifié de manière à
ce que l’action concertée visée soit celle qui a
pour effet de diminuer ou de cesser la
prestation des services, qu’elle soit assujettie
à un délai de sept jours et que les RSG soient
protégées contre les réaffectations opérées
par les bureaux coordonnateurs.
Les protections sociales
La CSQ estime que la négociation d’une
compensation pour la différence entre leur taux de
cotisation au Régime des rentes du Québec (RRQ)
et au Régime québécois d’assurance parentale
(RQAP) et celui qui est exigé d’une personne
salariée, tel qu’il est prévu à l’article 31 du projet de
loi, constitue un progrès intéressant pour les RSG
dans la mesure où la négociation et la détermination
d’une rétribution juste et équitable permettront de
rehausser significativement leur rétribution et,
conséquemment, leur revenu net d’entreprise.
Il n’en demeure pas moins que le projet de loi
renvoie ces compensations à la négociation, alors
que lors des travaux de consultation, il était
envisagé que le projet de loi établisse cette
compensation fondée sur la différence entre les taux
de cotisation applicables au revenu net d’entreprise.
Dans le cas de l’inscription à la Commission de la
santé et de la sécurité du travail, cette compensation
était fondée sur le taux en vigueur pour le secteur
d’activité. Cette façon de faire a l’avantage de
compenser totalement la RSG. C’est pourquoi la
CSQ propose :
Que le projet de loi soit modifié de manière à
déterminer la compensation versée à chaque
RSG, leur permettant de participer au RRQ
et au RQAP et de bénéficier de la protection
accordée par la Loi sur les accidents du travail
et les maladies professionnelles.
La rétribution juste et équitable
En modifiant la Loi sur les services de garde
éducatifs à l’enfance (LSGEE) pour définir les RSG
comme des travailleuses autonomes travaillant à
leur propre compte et pour séparer les bureaux
coordonnateurs des Centres de la petite enfance
(CPE), le gouvernement les soustrait à l’application
de la Loi sur l’équité salariale qui s’applique aux
travailleuses et travailleurs autonomes à certaines
conditions.
Le mécanisme proposé par le projet de loi ne
garantit pas une juste évaluation de la valeur de cet
emploi, ni l’atteinte de l’équité selon les principes
reconnus en matière d’équité salariale. Il ne définit
pas quels sont les emplois comparables, ni ne
détermine pas les balises que les parties devront
respecter en adoptant la méthodologie qu’elles
utiliseront. La détermination d’une rétribution juste
et équitable comme il est prévu au projet de loi
devrait compenser le fait que la Loi sur l’équité
salariale ne s’applique pas aux RSG. Pour cette
raison, la CSQ propose :
Que le projet de loi soit amendé de manière à
ce que le mécanisme de détermination d’une
rétribution juste et équitable s’inspire des
principes prévus à la Loi sur l’équité
salariale.
Les modifications à la LSGÉE
C’est avec étonnement que la CSQ a constaté que le
gouvernement avait introduit au projet de loi un
ensemble de modifications à la LSGÉE. Le
gouvernement a agi sans aucune consultation
préalable, alors qu’il s’apprête à poser des gestes
qui auront un impact considérable sur le réseau.
Nous ne pouvons passer sous silence ces
importantes modifications. | |
| | | tonique Ça y est! Je suis dépendante!
Nombre de messages : 75 Date d'inscription : 19/02/2009
| Sujet: Re: info Adim #9... Ven 5 Juin - 6:17 | |
| Des bureaux coordonnateurs distincts desCPELa CSQ s’oppose fermement à cette modificationdes structures du réseau, et ce, pour trois raisonsfondamentales.Premièrement, la CSQ milite depuis plusieursannées pour un seul réseau public de gardeéducative au Québec. Deuxièmement, l’éloignementdes volets installation et familial creuse les préjugésà l’égard de la valeur du travail des éducatrices eninstallation versus les responsables en service degarde en milieu familial. Troisièmement, les coûtsqu’entraîne une telle restructuration du réseauprivent celui-ci d’investissements nécessaires à saconsolidation. C’est pourquoi la CSQ propose : Que toutes les dispositions concernant lesmodifications à la LSGÉE concernant lesbureaux coordonnateurs soient retirées duprojet de loi. L’entente de serviceDans le cadre du projet de loi, le gouvernementmodifie l’article 92 de la LSGEE. Cet article prévoitque le ministre peut conclure une entente desubvention avec un prestataire de service pourspécifier que cette entente peut déterminer la formeet le contenu, ainsi que les mentions obligatoires outoute autre clause que doit contenir l’entente deservice de garde qui doit être utilisée entre la RSGet le parent ; les modalités et le montant de toutecontribution ou de tous frais additionnels quipeuvent être demandés ou reçus par une RSG pourdes biens et des services déterminés en vertu desexemptions prévues par règlement ; et les modalitéset le montant de toute prestation additionnelle deservices de garde fournis à un enfant occupant uneplace donnant droit à des services de gardesubventionnés. Il est inacceptable que le gouvernement profite del’adoption d’un projet de loi instituant un régime denégociation pour introduire parallèlement desdispositions permettant d’imposer, au moyen desinstructions, des ententes de subvention et d’uneentente de service des conditions d’exercice de lagarde qui devrait faire l’objet de négociation parceque constituant des conditions de travail. Pour cetteraison, la CSQ propose :Que la LSGEE soit modifiée de manière à ceque les règles, les normes ou les mesuresétablies en fonction de la loi ou ses règlementsne puissent porter sur les conditions detravail des RSG.Pour plus de détails, nous vous référons au mémoirecomplet de la CSQ que vous retrouverez surInternet sur les sites ADIM et CSQ.http://adim.csq.qc.net et http://www.csq.qc.net La CSQ livre son message en regard de la santé et la sécurité du travailPar Michelle Desfonds, conseillère syndicale CSQ en santé et sécurité du travail Dans le numéro précédent, nous vous avonsprésenté les principales dispositions du projet de loi51 traitant de la santé et de la sécurité du travailainsi que les améliorations à y apporter pour que ledroit à l’égalité des RSG soit respecté. Deux pointsretiennent particulièrement l’attention : le droit auretrait préventif et le droit de refus, tous deux inclusà la Loi sur la santé et la sécurité du travail (LSST). Le droit au retrait préventifLe droit au retrait préventif n’est pas clairementincorporé à la loi. Le projet de loi précise que legouvernement peut, par règlement, établir unrégime de retrait préventif et peut, par règlementtoujours, prévoir le financement et le mode degestion de ce régime. En même temps, le projet deloi spécifie à l’article 107 que la LSST nes’applique pas à une RSG et ce, dès la date de laprésentation du présent projet de loi.Ces dispositions sont non seulement incomplètes etinsatisfaisantes, mais elles sont aussiinconstitutionnelles en ce qu’elles créent un videjuridique qui ramène les RSG dans la mêmesituation que celle qui prévalait sous la loi 8déclarée à cet égard, invalide, inopérante et sanseffet par la juge Grenier, parce que contraire à laCharte canadienne des droits et libertés et à laCharte québécoise des droits et libertés de lapersonne.Par ailleurs, pourquoi établir un régime distinct deretrait préventif, alors qu’une référence auxdispositions pertinentes de la LSST suffirait? À | |
| | | tonique Ça y est! Je suis dépendante!
Nombre de messages : 75 Date d'inscription : 19/02/2009
| Sujet: Re: info Adim #9... Ven 5 Juin - 6:18 | |
| notre avis, le retrait préventif des RSG ne peut et ne
doit pas être institué par règlement. Tout comme le
droit à la LATMP qui est clairement prévu à
l’article 31 du projet de loi, le droit au retrait
préventif doit être intégré à la loi par une référence
aux articles pertinents de la LSST (articles 42 à 48
et 36 à 37,3) et il doit s’appliquer dès l’entrée en
vigueur de la loi. Ce n’est qu’ainsi que le droit à
l’égalité des RSG sera respecté.
Le droit de refus
Outre le droit au retrait préventif, la LSST prévoit
pour les travailleuses et les travailleurs le « droit de
refuser d’exécuter un travail s’il a des motifs
raisonnables de croire que l’exécution de ce travail
l’expose à un danger pour sa santé, sa sécurité ou
son intégrité physique ou peut avoir l’effet
d’exposer une autre personne à un semblable
danger. » Or, ce droit ne se retrouve pas dans le
régime de protection sociale élaboré pour les RSG
par le projet de loi 51.
Il est pourtant reconnu depuis 2000 que la LSST
vise l’élimination à la source même des dangers
pour la santé, la sécurité et l’intégrité physique des
travailleuses et travailleurs, dont ceux relatifs à la
santé psychologique. Ces dangers peuvent se
manifester de diverses façons, dont le harcèlement
psychologique qui serait exercé par une
représentante ou un représentant d’un Bureau
coordonnateur, un parent, une assistante ou un
assistant ou toute autre personne liée de près ou de
loin au travail des RSG. En ce sens, en refusant de
reconnaître aux RSG le droit de refus que peuvent
exercer les éducatrices de CPE, le projet de loi 51
porte atteinte à leur droit à l’égalité.
Conclusion
Ce 3 juin 2009, lors des consultations en
Commission parlementaire, la CSQ a formulé les
recommandations nécessaires afin que la loi qui
sera adoptée soit conforme au jugement Grenier et
respecte intégralement le droit à l’égalité des RSG
en regard de l’application des lois sociales que sont
la Loi sur les accidents du travail et les maladies
professionnelles et la Loi sur la santé et la sécurité du travail. J'ai du mieux que j'ai pu , bonne lecture | |
| | | Fleurette Mon ordi fait de la boucane, est-ce normal?
Nombre de messages : 1249 Date d'inscription : 31/12/2008
| Sujet: Re: info Adim #9... Ven 5 Juin - 9:07 | |
| merci! | |
| | | annicks Je suis une hyperactive!
Nombre de messages : 174 Age : 48 Date d'inscription : 01/12/2006
| Sujet: Re: info Adim #9... Ven 5 Juin - 11:21 | |
| merci beaucoup tonique :pour toi: | |
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| Sujet: Re: info Adim #9... | |
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| | | | info Adim #9... | |
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