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 Charest joue la carte de la stabilité politiqueTaille du tex

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Marie-France
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Charest joue la carte de la stabilité politiqueTaille du tex Empty
MessageSujet: Charest joue la carte de la stabilité politiqueTaille du tex   Charest joue la carte de la stabilité politiqueTaille du tex EmptyVen 7 Nov - 22:23

Publié le 07 novembre 2008 à 06h37 | Mis à jour à 06h40


Charest joue la carte de la stabilité politiqueTaille du texte Imprimer

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Isabelle Pion
La Tribune


(Sherbrooke) Une journée après le déclenchement des élections, le premier ministre Jean Charest s'est arrêté au Club de golf de Sherbrooke, jeudi, pour le lancement de la campagne des libéraux en Estrie. Dans une salle remplie de militants, il a présenté son équipe de candidats de la région, avec qui il souhaite traverser la «tempête» qui s'annonce, a-t-il illustré.

Se collant à son slogan électoral, «L'économie d'abord, oui!», le député de Sherbrooke a ramené une fois de plus l'image du capitaine et de la tempête pour aborder le déclenchement des élections et la crise financière.

Pour sa soirée d'investiture, le chef du Parti libéral du Québec était accompagné de ses députés sortants: Johanne Gonthier dans Mégantic-Compton, Pierre Reid dans Orford, Monique Gagnon-Tremblay dans St-François, Yvon Vallières dans Richmond, et des autres candidats: Denis Morin dans Johnson, Claude Bachand dans Arthabaska, Jean-Claude Tremblay dans Shefford et Jacques Sigouin dans Drummond.

«Cinquante pour cent de tout ce qu'on produit au Québec va en exportations. Nous avons les économies les plus ouvertes au monde (...) Il y a aura un impact chez nous, c'est sûr... La question que nous devons nous poser, lorsqu'une tempête s'annonce, c'est à qui devons-nous faire confiance, quels gestes devons-nous poser? C'est la grande question que nous posons à tous les Québécois le 8 décembre!»


Stabilité recherchée

Un gouvernement minoritaire peut toujours se débrouiller en période de croissance économique, mais ce n'est pas vrai «que le Québec peut être dirigé avec trois paires de mains sur le volant», a-t-il lancé en reprenant une expression déjà utilisée à plusieurs reprises. «Pour avoir de la prospérité économique, ça prend de la stabilité politique», a-t-il fait valoir.

Le premier ministre a rappelé les grandes lignes d'un plan d'action économique, dévoilé plus tôt dans la journée, qui permettra selon lui de faire face à la crise. Le plan contient un investissement de 41 milliards $ dans les infrastructures au cours des cinq prochaines années.

«On veut tout faire en sorte pour rehausser les infrastructures, augmenter la productivité... Pour chaque tranche de milliard de $, ce sont 8000 emplois directs qui sont créés.» Il a aussi promis, entre autres, une aide à la Société générale de financement (SGF afin de soutenir les PME.

Jean Charest a soutenu que son gouvernement avait dirigé la province avec rigueur, «la preuve» étant que ce dernier compte une réserve financière de 2,3 milliards $. Des propos qu'il soutient malgré les dires du vérificateur général du Québec, qui parle plutôt d'un déficit de 5,8 milliards $.

Il a aussi profité de l'occasion pour écorcher ses deux adversaires, les chefs adéquiste et péquiste Mario Dumont et Pauline Marois. «Si on avait écouté Pauline Marois et Mario Dumont, aujourd'hui le Québec serait en récession, les familles auraient moins d'argent dans leurs poches, il y aurait plus de chômeurs!»

Élu sur la scène provinciale en 1998, M. Charest brigue les suffrages pour un troisième mandat.

Denis Morin, pour sa part, réclame un premier mandat à ses électeurs. Pourquoi avoir choisi la circonscription de Johnson, lui qui habite à Granby? «Je suis natif de St-François-Xavier-de-Brompton. Je travaille à Granby depuis 1996 et je suis plus un gars rural que de ville», a-t-il lancé. Interrogé sur ses priorités pour la circonscription, M. Morin n'a pas su quoi répondre, soulignant qu'il allait en prendre connaissance.

Parmi la foule, on comptait notamment le maire de Sherbrooke, Jean Perrault, que Jean Charest a salué chaleureusement, rappelant son départ de la scène politique municipale en 2009.

Des membres de l'Alliance des intervenantes en milieu familial ont manifesté devant le Club de golf de Sherbrooke, en présence de la vice-présidente de la CSQ, Louise Chabot. Les responsables en service de garde demandent au premier ministre de ne pas aller en appel pour contester le jugement invalidant la loi 8, une loi qui retirait aux RSG le droit de se syndiquer.

http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/sherbrooke/200811/07/01-37116-charest-joue-la-carte-de-la-stabilite-politique.php
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