à TVA ce soir à Rivière du Loup!!

Voicxi le reportage et le vidéo je ne trouve pas mais je vais revenir ....


Les
responsables de service de garde en milieu familial en ont assez!


Les responsables de service de garde en milieu
familial sont prêtes à monter aux barricades. Elles jugent leurs
conditions de travail discriminatoires et exigent que le ministère de la
Famille rectifie la situation.

Manon Lebel
travaille comme responsable de service de garde en milieu familial.
Elle, et les 12 500 autres intervenantes du Québec, en ont assez!
« Faut que ça change, on est rendu là, ça fait assez longtemps que l’on
attend. »
En moyenne, elle travaille près de 65
heures par semaine, pour un salaire qui se situe entre quatre et six
dollars de l’heure. Ce qui est nettement inférieur au salaire minimum.
« Si tu calcules le nombre d’heures qu’on fait, on est ouvert 50 heures
par semaine. À côté faut que tu rajoutes les achats, la paperasse de
bureau, le ménage, l’entretien pis tout ça. Donc, si tu fais le prorata
du salaire à l’heure… »
« Pour certaines
responsables, c’est très critique. Ce n’est pas tout le monde qui peut
prendre des vacances, ce ne sont pas toutes les filles qui peuvent se
payer un férié » explique la 1re v-p, Alliance des intervenantes en
milieu familial Bas-Saint-Laurent, Geneviève Tremblay.

Une évaluation démontre que leur travail est comparable à celui des
éducatrices en installation dans les CPE qui, en moyenne gagnent plus de
15 dollars de l’heure. Et même si elles sont considérées comme des
travailleurs automnes, elles n’ont pas les avantages qui viennent avec.
« On sait très bien qu’elles ne sont pas vraiment des travailleuses
autonomes. Elles sont régies, réglementées, encadrées, surveillées et
elles ne peuvent pas décider des tarifs qu’elles chargent », souligne la
présidente de la Fédération des intervenantes en petite enfance du
Québec, Sylvie Tonnelier.
« On n’a toujours
pas eu de réponses à nos demandes, ni d’offres formelles du gouvernement
», affirme la vice-présidente de la CSQ, Louise Chabot.

Aujourd’hui, ce qu’elles souhaitent c’est d’obtenir un premier contrat
de travail. Au minimum, recevoir l’équivalent des normes du travail.
« On ne sent pas de réelle volonté politique de vouloir régler à court
terme ce dossier-là, alors que ça fait 13 ans que l’on se bat, pour
nous, c’est clair que ça prend un engagement du gouvernement. »
Évidemment, on souhaite que le ciel s’éclaircisse d’ici le 15
juillet et advenant que rien ne bouge, les RSG se disent prêtes à
pousser davantage leurs moyens de pression puisqu’une journée de grève
pourrait se tenir au début du mois de septembre.
Un texte de Pierre-Gabriel Turgeon

Merci à toi
oui on est responsable et on mérite mieux ....et que ça bouge bon sang!!!!

chatoune_25 a écrit:

Voicxi le reportage et le vidéo je ne trouve pas mais je vais revenir ....


Les
responsables de service de garde en milieu familial en ont assez!

Les responsables de service de garde en milieu
familial sont prêtes à monter aux barricades. Elles jugent leurs
conditions de travail discriminatoires et exigent que le ministère de la
Famille rectifie la situation.

Manon Lebel
travaille comme responsable de service de garde en milieu familial.
Elle, et les 12 500 autres intervenantes du Québec, en ont assez!
« Faut que ça change, on est rendu là, ça fait assez longtemps que l’on
attend. »
En moyenne, elle travaille près de 65
heures par semaine, pour un salaire qui se situe entre quatre et six
dollars de l’heure. Ce qui est nettement inférieur au salaire minimum.
« Si tu calcules le nombre d’heures qu’on fait, on est ouvert 50 heures
par semaine. À côté faut que tu rajoutes les achats, la paperasse de
bureau, le ménage, l’entretien pis tout ça. Donc, si tu fais le prorata
du salaire à l’heure… »
« Pour certaines
responsables, c’est très critique. Ce n’est pas tout le monde qui peut
prendre des vacances, ce ne sont pas toutes les filles qui peuvent se
payer un férié » explique la 1re v-p, Alliance des intervenantes en
milieu familial Bas-Saint-Laurent, Geneviève Tremblay.

Une évaluation démontre que leur travail est comparable à celui des
éducatrices en installation dans les CPE qui, en moyenne gagnent plus de
15 dollars de l’heure. Et même si elles sont considérées comme des
travailleurs automnes, elles n’ont pas les avantages qui viennent avec.
« On sait très bien qu’elles ne sont pas vraiment des travailleuses
autonomes. Elles sont régies, réglementées, encadrées, surveillées et
elles ne peuvent pas décider des tarifs qu’elles chargent », souligne la
présidente de la Fédération des intervenantes en petite enfance du
Québec, Sylvie Tonnelier.
« On n’a toujours
pas eu de réponses à nos demandes, ni d’offres formelles du gouvernement
», affirme la vice-présidente de la CSQ, Louise Chabot.

Aujourd’hui, ce qu’elles souhaitent c’est d’obtenir un premier contrat
de travail. Au minimum, recevoir l’équivalent des normes du travail.
« On ne sent pas de réelle volonté politique de vouloir régler à court
terme ce dossier-là, alors que ça fait 13 ans que l’on se bat, pour
nous, c’est clair que ça prend un engagement du gouvernement. »
[size=9]Évidemment, on souhaite que le ciel s’éclaircisse d’ici le 15
juillet et advenant que rien ne bouge, les RSG se disent prêtes à
pousser davantage leurs moyens de pression puisqu’une journée de grève
pourrait se tenir au début du mois de septembre.

Un texte de Pierre-Gabriel Turgeon

J'ai grossis le texte trop dur a lire, merci beaucoup

oui,moi aussi j ai bien entendu cela au nouvelle hier soir.je souhaite de tout coeur qu il se passe de quoi de concret pour nous tous educatrice en milieu famillial.nous travaillons fort et sans condition de travai,il faut que ca change.nous meritons des feries et vacances payes comme tout le monde.je suis prete a fermer une journee s il le faut pour defendre notre cause.ca suffit et ca fait assez longtemps que ca dure.

Non seulement je suis prete a fermer une journée mais en plus mes parents m'appui a 100% vive les parent avec le gros bon sens.